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Peste aviaire Toutes les analyses réalisées en France sont négatives (DGAL)
Toutes les analyses réalisées en France après l'apparition de l'épidémie de peste aviaire ou "grippe du poulet" aux Pays-Bas et en Belgique se sont révélées négatives et les mises sous surveillance ont été levées, a indiqué le lundi 28 avril à l'AFP la Direction générale de l'alimentation (DGAL).
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Dès l'apparition des premières suspicions de l'épizootie aux Pays-Bas début mars, des instructions ont été envoyées aux directions départementales des services vétérinaires pour recenser les arrivées de volailles et d'oeufs à couver en provenance de ce pays. Une dizaine d'élevage ont alors été mis sous surveillance, des prélèvements réalisés et les contrôles renforcés pour les transporteurs, précise-t-on de même source.
Les 23 avril, les experts vétérinaires des Quinze ont prolongé jusqu'au 12 mai l'embargo sur les volailles néerlandaises et belges décidé après l'apparition de la maladie: les volailles vivantes, les oeufs à couver et le lisier provenant d'exploitations de ces pays ne peuvent être expédiés vers un autre Etat membre ou un pays tiers. Le transport de ces différents produits à l'intérieur même des deux pays concernés est également strictement réglementé. Les contrôles aux frontières ont aussi été renforcés.
D'après les chiffres de la DGAL, aux Pays-Bas où l'épizootie a entraîné la mort d'un vétérinaire, 233 exploitations ont été touchées et plus de 18 millions de volailles ont été abattues.
En Belgique, trois exploitations sont touchées et plus de 900.000 volailles abattues, tandis qu'en Allemagne, environ 3.500 volailles ont été euthanasiées récemment en Rhénanie du Nord-Westphalie, proches de la frontière avec les Pays-Bas.
Ce lundi, la direction générale française de la santé réunit le groupe d'experts de la cellule de lutte contre la grippe, pour envisager d'éventuelles mesures à prendre à la suite de l'épizootie.
La semaine dernière, l'OMS (Organisation mondiale de la santé) a recommandé de renforcer la surveillance et le diagnostic du virus chez les humains et les animaux susceptibles d'être infectés (poulets, dindes, cochons) dans les pays où ce virus à eté initialement détecté.
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Les 23 avril, les experts vétérinaires des Quinze ont prolongé jusqu'au 12 mai l'embargo sur les volailles néerlandaises et belges décidé après l'apparition de la maladie: les volailles vivantes, les oeufs à couver et le lisier provenant d'exploitations de ces pays ne peuvent être expédiés vers un autre Etat membre ou un pays tiers. Le transport de ces différents produits à l'intérieur même des deux pays concernés est également strictement réglementé. Les contrôles aux frontières ont aussi été renforcés.
D'après les chiffres de la DGAL, aux Pays-Bas où l'épizootie a entraîné la mort d'un vétérinaire, 233 exploitations ont été touchées et plus de 18 millions de volailles ont été abattues.
En Belgique, trois exploitations sont touchées et plus de 900.000 volailles abattues, tandis qu'en Allemagne, environ 3.500 volailles ont été euthanasiées récemment en Rhénanie du Nord-Westphalie, proches de la frontière avec les Pays-Bas.
Ce lundi, la direction générale française de la santé réunit le groupe d'experts de la cellule de lutte contre la grippe, pour envisager d'éventuelles mesures à prendre à la suite de l'épizootie.
La semaine dernière, l'OMS (Organisation mondiale de la santé) a recommandé de renforcer la surveillance et le diagnostic du virus chez les humains et les animaux susceptibles d'être infectés (poulets, dindes, cochons) dans les pays où ce virus à eté initialement détecté.
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